Les dialogues sont justes, le ton est heureux, l'interprétation excellente. Malgré tout, l'oeuvre reste confinée dans le conventionnel, sans aucun moment véritablement intense. La deuxième partie se tire extrêmement en longueur et n'arrive jamais à la qualité du roman. Granier-Deferre confirme son métier de bon artisan, mais aussi son évident manque flagrant de génie et de fulgurance... www.cinefiches.com