Photo de Lau Kar-leung
Photo de Lau Kar-leung

Lau Kar-leung

“To me, an action movie must have funny parts. Until then, kung fu movies always ended with a killing, a big slaughter. I said that I won’t do that. In my opinion, it is not necessary to destroy the villain to make the audience happy. A dyed-in-the-wool scoundrel who repented and found the righteous way could be just as good.”

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    LA 36ÈME CHAMBRE DE SHAOLIN

    LAU KAR-LEUNG Hong Kong, 1978

    Dur de trouver un film de kung-fu plus emblématique que ce chef-d’œuvre de Lau Kar-leung. Se concentrant sur les multiples disciplines de combat, ce film d’entraînement par excellence voit l’apprenti joué par Gordon Liu préférer la voie de l’autodétermination spirituelle à celle de la vengeance.

    LES HUIT DIAGRAMMES DE WU-LANG

    LAU KAR-LEUNG Hong Kong, 1984

    Bien qu’il soit sorti au milieu de la carrière de Lau Kar-leung, son film ressemble à la refonte d’un genre que le cinéaste a aidé à créer. Comprenant certaines des meilleures scènes du maestro de l’action, imprégné d’épuisement spirituel, le film est la réponse kung-fu de La Prisonnière du désert.

    LES DÉMONS DU KARATÉ | SHAOLIN CONTRE NINJA

    LAU KAR-LEUNG Hong Kong, 1978

    Dans cette comédie romantique, le kung-fu se mesure aux arts martiaux japonais pour un choc des cultures étincelant ! Gordon Liu trouve un adversaire à sa hauteur en la personne de Yuka Mizuno, tandis que Lau Kar-leung démontre pourquoi il est le roi de la mise en scène d’action !

    LE PRINCE ET L'ARNAQUEUR

    LAU KAR-LEUNG Hong Kong, 1979

    Cette excellente comédie de kung-fu du virtuose Lau Kar-leung mêle élégance acrobatique et burlesque loufoque. Confrontés à de redoutables adversaires joués par des icônes des arts martiaux, le maître facétieux Gordon Liu et son comparse malchanceux Wong Yue forment un duo hilarant !

    LA BRUTE, LE BONZE ET LE MÉCHANT | LE JUSTICIER DE SHANGHAÏ

    CHANG CHEH, HSUEH LI PAO Hong Kong, 1972

    Que vaut un code d’honneur dans un monde sans grandeur ? Telle est la question au cœur de ce polar historique signé Chang Cheh. Avec ses combats chorégraphiés par Lau Kar-leung, Le Justicier de Shanghaï se termine par un baroud dantesque figurant parmi les plus sanglants des Shaw Brothers.

Réalisation

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Chorégraphe

Scénariste

Production