Du cinéma beau, passionnant et incroyable.
Les tribulations d’un âne dans les Landes des années 1960, prétexte à la peinture des travers humains.
Les tribulations d’un âne dans les Landes des années 1960, prétexte à la peinture des travers humains.
Ce film beau à en pleurer, qui transcende son esthétique austère par des sommets d’émotions, est dévoué à deux figures angéliques. Après avoir vu ce chef-d’œuvre du cinéma moderne, nul ne pourra oublier le visage candide de la jeune Anne Wiazemsky ou du pauvre âne qui répond au nom de Balthazar.