LA SONATE À KREUTZER

Après son mariage avec une femme voluptueuse, Pozdnychev se rend compte que les seuls liens qui les unissent sont leurs relations sexuelles. Lorsque la jeune femme s’éprend d’un violoniste avec qui elle interprète souvent la « Sonate à Kreutzer », son mari est rongé par la jalousie.

Produit par Godard, qui y tient aussi un second rôle, ce court métrage en 16 mm d’Éric Rohmer nous emmène dans les appartements du Paris des années 1950 ainsi que sur ses charmants boulevards, et laisse même entrevoir les locaux des Cahiers du Cinéma. Attention aux caméos de Chabrol et de Truffaut !