“J’imaginais un monde organique, monochrome, spectral et mystérieux. J‘ai plutôt cherché l’inspiration du côté d’Artavazd Pelechian. Un monde de sensations plutôt que de représentations. Je voulais travailler la texture, les zones d’ombres, les flous, tordre des images réelles. Le son joue également un rôle essentiel dans le film.”