“On regardait les gens jouer et se placer assez naturellement et ensuite, on assignait leur place aux deux caméras. Sur le plateau, il y avait une humeur communautaire. Une super énergie tous ensemble, on s’amusait beaucoup, et j’ai même dû recadrer tout le monde au bout de trois semaines, ce que je ne fais jamais normalement : «N’oubliez pas qu’on fait un film !» ”