“Je m’identifiais aux belles histoires car elles sont universelles, même si, il faut le noter, les héroïnes sont le plus souvent blanches. A posteriori, quand je réfléchis à ma construction, j’observe effective-ment que le paysage culturel était uniforme. Je crois que ce déficit de représentation m’a poussée à me battre pour me faire une place et pour décloisonner un périmètre dans lequel on aurait voulu éventuellement me circonscrire.”