“Par ailleurs, le fait qu'il existe un cinéma israélien est un miracle en soi, parce que c'est très dur de produire des films dans ce pays. Il n'y a pas de C.N.C., il n'y a pas autant d'aides qu'en France. L'économie n'est pas florissante, ce qui fait que les artistes qui font du cinéma sont par conséquent des passionnés, parce que ce sont des galériens.”