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Banni des studios japonais après avoir réalisé des films de genre prodigieusement inspirés qui déraillaient volontairement vers la violence abstraite, l’artifice théâtral et la beauté pure, le cinéaste Seijun Suzuki effectua un retour triomphant avec une trilogie aussi somptueuse qu’étrange et décadente se déroulant à l’ère Taishô (1912 – 1926), époque de la modernisation rapide du Japon.