Du cinéma beau, passionnant et incroyable.
Dans le silence en noir et blanc, l’accent est mis sur un seul et même visage : celui d’une star déchue de 40 ans, Jean Seberg, quinze ans après Breathless, aux prises avec l’alcool, la peur, la solitude, la dépendance aux drogues et la démence.
Dans le silence en noir et blanc, l’accent est mis sur un seul et même visage : celui d’une star déchue de 40 ans, Jean Seberg, quinze ans après Breathless, aux prises avec l’alcool, la peur, la solitude, la dépendance aux drogues et la démence.
Décrit par Garrel comme « des chutes d’un film qui n’existe pas », ce portrait muet élégiaque et ensorcelant de Jean Seberg rappelle les célèbres bouts d’essai d’Andy Warhol. Soyez toutefois prêts à voir une scène poignante qui prophétise en quelque sorte la mort de l’actrice cinq ans plus tard.