LES DÉMONS DE DOROTHY

La réalisatrice Dorothy se défoule sur un scénario, lorsqu’un appel de son producteur casse l’ambiance : assez de comédies queer, il est temps de se mettre à faire des films grand public ! Pour ne pas sombrer dans le désespoir, Dorothy cherche du réconfort dans la série Romy the Vampire Slayer.

Dans un tourbillon de motos et de silicone, le court-métrage d’Alexis Langlois démontre les difficultés à réaliser un film, puis s’adonne à la fantaisie. C’est une ode queer aux excès les plus fous de la culture pop, du cinéma de genre et de l’Internet, rappelant John Waters et Ryan Trecartin.