Du cinéma beau, passionnant et incroyable.
Alors qu’une guerre fait rage, un réfractaire de Montréal se réfugie dans l’Ouest américain et survit tant bien que mal en participant à des concours d’imitation de Charlie Chaplin. Lorsqu’il entame le long voyage du retour, il rencontre diverses personnes en proie à une folie destructrice.
Épopée lynchéenne au cœur du côté obscur du capitalisme américain, La grande noirceur est une émouvante fable à la croisée des genres réalisée par le Québécois Maxime Giroux (Félix et Meira). Le cinéma dans ce qu’il a de plus enivrant, oscillant entre absurde et sincérité, beauté et chaos.