Du cinéma beau, passionnant et incroyable.
La vie de Mina est bouleversée lorsqu’elle apprend que son mari Babak était innocent du crime pour lequel il avait été exécuté. Lorsqu’un étranger frappe à sa porte pour rembourser une dette qu’il avait envers Babak, elle l’accueille, ignorant le secret qui les lie les uns aux autres.
Le Pardon offre un regard rempli de tension convaincant sur le chagrin et le remords, mettant en lumière, avec compassion, les dilemmes éthiques auxquels sont confrontées les Iraniennes. En tant que coréalisatrice et actrice principale, Maryam Moghaddam est résiliente dans sa quête de justice.