Un film en collages subversif réalisé à partir de séquences d’images. Le visuel érotique entre en conflit avec des scènes de films de John Ford or Orson Welles. Les répliques de Guy Debord sont tirées de son livre éponyme, « La société du spectacle », qui a encouragé les manifestations de 1968.
Tirée d’une sélection variée de documents d’archives, l’adaptation éponyme par Guy Debord de son traité sur la société moderne s’oppose à la superficialité du cinéma commercial. Ce film culte est théoriquement rigoureux et intemporel et nous tire des entraves du capitalisme.