Dans une maison de tolérance d’une rue de plaisir à Tokyo, cinq femmes racolent les hommes de passage alors qu’une loi limitant la prostitution risque d’être votée. Chacune s’interroge sur sa condition et sur les chances qu’elle aurait d’échapper à sa condition et de connaître une vie meilleure.

Succès retentissant au box-office lors de sa sortie, le chant du cygne de Mizoguchi jette un regard empreint de compassion sur la prostitution et l’enfer de vivre sous le poids des dettes, tout en parvenant à retranscrire de façon admirable l’ambiance du célèbre quartier Yoshiwara.