L’enfant terrible du cinéma européen, Gaspar Noé, est de retour avec un film audacieux en écran divisé. Avec des interprétations de l’icône de la nouvelle vague française Lebrun et du maestro de l’horreur Argento, Vortex s’attaque aux limites déchirantes de l’amour, du confort et de la mortalité.
Ce giallo délirant, où l’on retrouve certaines des plus belles scènes de Dario Argento, est l’un de ses films emblématiques. Rendant hommage à Blow-Up d’Antonioni en confiant le rôle principal à Hemmings, Les Frissons de l’angoisse est un chef-d’œuvre de beauté prismatique et de terreur absolue.
Suite à Suspiria, Dario Argento retrouve à nouveau les sorcières dans cette libre continuation (faisant partie de la trilogie de “Trois Mères”). Une film fiévreux et rêveur qui superpose les similitudes envoûtantes entre Rome et New-York. Un nouveau cauchemard irrésistible.
Les adaptations du Fantôme de l’Opéra furent nombreuses et suffisantes. Pourtant la version cacophonique de Dario Argento renouvelle totalement ce classique. Sorti aux Etats-Unis sous le nom de Terreur à l’Opéra, cette version dépasse les règles de l’horreur des années 80. De la terreur pure.
Du maître italien du macabre Lamberto Bava (fils du grand Mario), ce film coécrit et produit par Dario Argento dépeint, dans la plus pure tradition 80’s du genre, une facette de la pop culture (ici, le cinéma) se retournant contre le spectateur. Avec une musique signée Claudio Simonetti (Goblin).
